Bon, voila une histoire que Kazalq et moi avons écrit l'année passé.... On vous demanderait de de pas copier notre oeuvre (C'est notre bébé XD )Reproduction interdite. Sinon...
Un regard de trop« C’est ben cool ici! », s’écria Swan. « Pis en plus, pas d’adulte de la fin de semaine. », s’empressa d’ajouter Marie-Ève. Pendant ce temps Dominik, le frère aîné de Swan, déchargeait la caravane. « Venez m’aider à la place de regarder la poussière voler! » sermonnât-il. Swan dit : « Oh, j’avais oublié que mon frère se comportait en mère poule! ». Marie- Ève et elle éclatèrent de rire. Alex arriva en même temps. Les adolescents mirent leurs bagages dans le petit chalet des Laurentides qu’ils avaient loué. Ils avaient eu beaucoup de chance de le louer, aussi tard dans l’année, en juillet. Le soir venu, Josiane arriva, en retard. « Désolé si je suis en retard, c’est parce que je ne trouvais pas mes talons aiguilles. ». Swan, Marie-ève, Alex et Dominik la dévisagèrent. « On est dans le bois, que comptes-tu faire avec ça? », se moqua Alex. « Ben les porter, niaiseux ». Ils allèrent tous se coucher, mais pendant la nuit Dominik se réveilla car il avait entendu un drôle de bruit. En se levant, il remarqua que le foyer ne chauffait plus. Il alla dehors où les bûches étaient entreposées.
Swan ouvrit ses yeux quelques heures plus tard, elle sentit tout de suite la morsure du froid. Elle se leva avec la même intention que son frère : alimenter le poêle. Elle attacha ses longs cheveux bruns, et marcha en direction de l’entrée. Swan eue un horrible frisson quand, elle vue que, la porte qui était supposée être fermée à clef était grande ouverte. La jeune fille alla tout de suite réveiller les autres, les quatre adolescents remarquèrent avec surprise que Dominik manquait à l’appel. Alex proposa d’organiser une battue.
Dans la pénombre, Josiane s’écria : « J’espère que ce n’est pas une mauvaise blague! ». Marie-ève rajouta : « Moi je l’espère, car sinon il a eu un grave problème… ». Alex, le plus grand du groupe, essayait avec ses yeux verdoyants de percevoir quelque chose qui le mènerait au disparu. Marie-ève lâcha un cris étouffé par la terreur au moment où, elle vit avec sa lampe, une chaussure maculée de sang. Tout le monde se retourna et eu la même réaction de stupeur que Marie-ève. Elle leva le faisceau de lumière et tout le groupe resta paralysé d’effroi devant le visage glacial de l’inconnu qui prit la fuite instantanément dans la forêt dense. Swan regarda quelques mètres plus loin et resta figée devant le spectacle ensanglanté qui se présentait à elle : Le cadavre de son frère gisant dans son sang. Elle s’effondra en sanglotant : « Comment peut on faire un geste aussi inhumain! ». Marie-ève s’empressa d’hurler : « Josiane, va appeler la police, vite! », aussitôt dit, aussitôt fait! Josiane couru appelé la police le vent dans ses cheveux blonds. Les trois autres coururent en direction du meurtrier, au moment même où ils entendirent Josiane claquer la porte.
La jeune fille composa avec frénésie le numéro d’urgence, le 911. Elle remarqua au même moment, avec découragement qu’il n’y avait aucune tonalité. Josiane chercha ce qui pouvait causer cette panne, car cet après-midi le téléphone fonctionnait parfaitement. Elle vu que le fil n’était plus connecté au mur, il avait été sectionné! « Merde! » s’exclama-t-elle. L’adolescente n’eu même pas le temps de voir l’ombre derrière la porte…
Swan, Alex et Marie-Ève couraient déjà depuis quelques temps, quand ils entendirent un cris étranglé par la peur. Ils reconnurent tout de suite la voix de Josiane et tournèrent les talons pour revenir au chalet. Tous se précipitèrent sur la porte, l’ouvrirent et étouffèrent un cri de dégoût. Leur amie était sans vie, le tueur lui avait tranché la gorge. Leurs yeux plein de larmes et d’effroi perçurent un mouvement subtile à l’extérieur. Alex vit un bâton de base-ball, et le prit sans hésiter pour pouvoir se défendre. Ils se précipitèrent à l’extérieur et constatèrent que le meurtrier s’enfuyait par le petit sentier de terre plongé dans l’obscurité.
Les adolescents empruntèrent le sentier sans éprouver de crainte car la vengeance se lisait dans leurs yeux. Les cheveux châtains de Marie-Ève lui bloquèrent la vue et elle trébucha sur une branche. « Ayoye!», cria-t-elle. Ses amis arrêtèrent de courir, ce n’était, certes pas le moment de se séparer. « Ça va? », demanda Alex. « Oui, mais je ne pourrai plus courir.» « Alex, aide-moi à la soulever. Il faut la ramener au chalet.». « Mais le tueur? », demanda-t-il. « Il ne nous a jamais attaqué quand nous étions ensemble, donc ne nous séparons pas et ne devenons pas vulnérables.», dit Swan.
Ils ramenèrent Marie-Ève au chalet mais il y eu subitement une panne de courant. Ils allèrent, donc chercher les lampes torches et les allumèrent. « Qui parie que c’est le tueur? », plaisanta Alex pour détendre l’atmosphère. Marie-Ève dit : « Essayons de trouver un moyen de mettre plus de lumière, car on n’y voit rien ici! ».
Les trois compagnons essayèrent de trouver le panneau électrique. « Je l’ai trouvé!», s’égailla Swan. Alex qui s’y connaissait en électricité s’approcha du panneau. Il donna le bâton à Swan, car il le gênait. « Il n’y a rien d’anormal dans ce panneau. », conclut-il.
Quand ils voulurent retourner au rez-de-chaussée, la porte ne voulut pas s’ouvrir malgré les coups que les adolescents lui firent subire. Ils étaient pris au piège dans le sous-sol. En l’espace de quelques minutes, ils s’aperçurent que la poignée devenait de plus en plus chaude et même brûlante. Ils comprirent que le meurtrier voulait les brûler vifs! « On va mourir! », sanglota Marie-Ève. « Trouvons une autre issue », ordonna Alex. Les trois prisonniers désespérés essayaient de remarquer une trappe ou quelque chose du genre qui se trouve dans certain chalet. « Je l’ai trouvé! », dit Marie-ève pleine d’espoir. Grâce à une massue trouvée dans les outils de cette pièce, ils défoncèrent le vieux bois qui constituaient la trappe. Il ne perdirent pas de temps pour sortir de ce sous-sol de plus en plus chaud.
Dès qu’ils furent sortis, le tueur vit que son plan démentiel n’avait pas fonctionné. Il courut vers les adolescents croyant que la surprise serait son meilleur allié. Swan qui le vit du coin de l’œil, eu juste le temps de se retourner et lui asséner un coup de bâton en plein dans l’estomac, digne des meilleurs joueurs de base-ball. Sous la grande douleur, le tueur s’évanouit. Les trois survivants entendirent des sirènes de police et de pompier sûrement alertés par l’incendie.
Une heure plus tard, les adolescents avaient été soignés et portaient des couvertures sur les épaules. « Savez-vous pourquoi ce fou nous a attaqué? », questionna Alex à un policier près d’eux. « Non, cet homme à l’air complètement fou. » Marie-Ève lui demanda : « Est- ce qu’on peut savoir au moins son nom? ». « Eh bien d’accord, vous l’entendrez sûrement à la télévision de toute façon. C’est Jonh Duvalon.». Ils se regardèrent tous en même temps car ils connaissaient cet homme. C’est lui qui leur avait loué le chalet…
Sam 31 Mar - 15:36
