hall où on laisse les enfants

Depuis la mort de sa mère, Kamilie avait perdu l'appétit c'était d'ailleur une des raisons du roi pour s'en séparer. On réussissait à la faire manger de temps en temps mais pas souvent. D'un signe de tête elle déclina l'offre d'Alméane et fit bien sur que ses pensés étaient bel et bien bloqué.

Alors qu'Alméane se chargeait d'aller chercher de quoi les rassasier, Calila en profita pour vérifier si sa mère se portait bien. Elle s'éloigna des autres pour ne pas être dérangée et ferma les yeux. Sa mère marchait encore vers les Royaume des elfes, sans signe de détresse apparant.
Si elle devait se faire attaquer, Calila en voudrait à mort à son beau-père. Car c'était bien de sa faute si elle poireautait ici.
Alors qu'elle vérifiait son état d'âme à lui, elle y trouva une joie immense. Lui qui a toujours été sec et sans émotion. Fâchée, Calila revint à elle. Ses pouvoirs étaient très limités et souvent suivis de maux de tête. Elle resta à l'écart. Et s'assit sur le sol, au pied du mur, pour qu'on ne la remarque pas. Elle savourait déjà la nourriture apportée par Alméane. Pour calmer son mal de tête, elle songea à son père.

Karima remarqua le visage de Kamilie. Elle essaya de lire dans ses pensées mais elle heurta un mur. Elle ne savait pas encore comment les contourner car c'était la première fois qu'elle rencontrait des personnes avec des pouvoirs. Même si Kamilie bloquait ses pensées, Karima voyait sa mine sombre. Elle s'approcha doucement puis lui dit:
- Tu sais, si tu as besoin de parler même si ce n'est pas maintenant, je suis là.
La jeune fille lui fit son plus beau sourire chaleureux.

en arrivant ce qu'elle vit se grava à tout jamis dans sa tête Calila très pensive qui avait l'air fâcher,Karima qui voulait aider Kamilie qui semblait avoir beaucoup de peine et les autres encore trop gêner pour dire quoi que soit....Elle aussi souffrait mais elle avait toujours choissi de jamais le faire montrer la tous ce qu'elle aurait voulut laisser dans sont coeur remonta à la surface et Alméane ne pu qu'éclater en sanglos....La froideur dont la quelle sa mère l'avait toujours traiter ainsi que le regard des fées aussi froid que celui de sa mère et pourtant on disait que les fées étaient des créatures douces et gentilles
elle laissa la nourriture dans le hall et se rendit invisible et alla pleurer en silence dans un coin...

Calila leva soudainnement la tête. Elle redressa les oreilles tel un chat aux aguets. Un sanglot avait retentit. Elle balaya la place avec ses yeux mais ne vit pas de qui venait cette peine si intense.
Puis elle vit le butin qu'Alméane avait rapporté. Mais cette dernière n'était pas dans la pièce.
Calila s'empara d'un fruit apétissant et le mangea telle une affamée. Elle ÉTAIT affamée. Tout en mangeant, elle tenta de sonder la pièce. Mais son mal de tête l'en empêcha. Elle tenta donc un autre moyen.

**Alméane?**
dit-elle par télépathie. Elle ne se souciait guère que quelqu'un d'autre l'ait entendue. Elle retourna s'asseoir à son pied de mur et attendit une réponse en croquant dans un autre fruit.

même si elle avait entendu l'appelle téléphatique Alméane ne fit de rien la peinne était trop lourde a porter dans son coeur elle avait besion de pleurer pour se vidé le coeur...
mais comment allait-elle expliiquer que la peinne qui tombe de son coeur n'est que le refoulement d'année de soufrance...
cette douleur se fit ressentir a des lieus du château par tous les êtres magiques du coin....

Cette douleur, Calila la sentait. Une douleur immense. À la poitrine. Comme une peine restée cachée. Les larmes venaient aux yeux de la jeune elfe. Cette douleur, ce chagrin si immense, si douloureux...
Elle essuya ses larmes qui voulaient sortir. Cette peine n'était évidemment pas la sienne. C'était celle d'Alméane. Mais elle, elle ne savait pas à qui appartenait cette peine. Elle alla se chercher une dernière chose à se mettre sous la dent, pour calmer cette douleur qui l'avait frappée en pleine poitrine comme un pignard. Sa sensibilité d'elfe n'était pas toujours agréable en ce genre de situation.

Kamilie releva la tête aux paroles de Karima et lui fit un petit sourire timide mais sincère.

-Merci mais à mon avis il n’y a pas qu’à moi que tu devrais dire ça. Dit la petite elfe en regardant Almerys assise dans son coin puis par la suite Calila.

À cette instant elle ressentit une énorme tristesse l’envahir, une tristesse qui ne lui appartenait pas. Elle sentit celle-ci monter en elle et se mélanger à sa propre douleur. Ne pas pleurer, elle ne devait pas pleurer, elle ravala ses larmes et chercha d'où provenait cette douleur. Kamilie fini par en découvrir la source, ayant utilisé ses sens magiques, cet énorme chagrin venait d’un coin un peu plus loin. L’enfant s’en approcha et ne vit rien. Elle se rappela alors du pouvoir d’Alméane et s’accroupie puis elle dit réagissant toujours fortement à la tristesse pour combattre la sienne :

-Tu n’a pas à te cacher pour pleurer, ni à nous en dire les raisons si tu ne le veux pas car j’en suis sûr nous voulons toutes être tes amies et t’aider à aller mieux, pour cela nous allons t’excepter comme tu es. De toute façon tu n’auras pas le choix nous deviendrons obligatoirement tes amies et tu n’as aucun échappatoire à ça.

La dernière phrase elle l’avait dite dans l’espoir de la faire rire car Kamilie n’aimait pas voir les gens pleurer, même si techniquement elle ne la voyait pas vraiment.

Calila suivit Kamilie des yeux. Ça y est. Voilà d'où venait cette tristesse.

Alméane le saivais qu'elle allait toute venir des amies mais ce qui lui faisait mal c'était le passé...et son pouvoir d'invisibilité s'était activié tout seul sans qu'elle le sache...
en prenant tout son courage elle se matérialisa et sauta dans les bras de Kamilie et sanglotant
c'était si bon de se sentir apprécier si bon...

Calila fit le saut en voyant apparaître la délicate silhouette d'Alméane devant Kamilie.
Elle eut un chaud au coeur en la voyant serrer cette dernière. Un mince sourire s'afficha sur son pâle visage.

Kamilie qui attendait une réponse fut surprise de voir Alméane apparaitre de nul part et de lui sauter dans les bras mais elle referma tout de même ses bras autour de la jeune fille comme une vrai amie le ferait.

apprès quelques minutes de sanglos elle esuya les larmes qui restait et elle murmura un tout petit
-énormément merci...
esuite, avec sa magie elle fit venir à elle une pomme et mange tout en restant à côter de sa nouvelle amie...

Le soleil commençait déjà à se coucher. Une journée forte en émotion et qui méritait une bonne nuit de sommeil. Calila sentit ses yeux devenir de plus en plus lourds. Mais elle ne pouvait tout de même pas dormir par terre et il n'y avait aucun lit dans cette pièce.
Dans ce château immense, il devait pourtant bien y avoir quelqu'un pour leur dire où aller!
Malgré son idée de départ sur ce château, elle se plaisait à penser qu'elle allait bientôt étudier sous la tutelle d'un magicien.
Elle poussa un discret baillement.
Elle allait attendre que les autres se soient remises sur pied pour leur proposer de chercher leur dortoir.
Car si on ne venait pas à elles, ç'allait être elles qui iraient aux autres...

Kamilie s'assit et regarda sa nouvelle amie mangé apprait qu'elle se soit calmé. Tout comme Calila, la petite elfe vit que la noiceur commençait à apparaitre et décida de demander à Alméane, puisque la jeune fille connaissait bien le château, si il y avait un endroit où elles pouraient dormir .

après cette longue journée pleine d'émotions fortes elle annonca sans trop de joie.
-moi je suis vraiment fatigué qui vient avec moi dans les dortoirs...
tout en marchant non chalamant aver les escaliers

Karima avait regarder la scène de loin et avait eu les yeux qui s'étaient remplis de larmes quand elle vu Alméanne sauter dans les bras de Kamilie. Elle sentait que toute ses personnes étaient très gentilles malgré leurs différents parcours. Elle suivi Alméanne quand celle-ci se dirigea vers l'escalier.

Calila se leva vivement suite à la déclaration d'Alméane. Elle dormait sur place, un petit somme ne lui ferait pas de tort. Elle les suivit en courant vers le dortoir...

Kamilie s'était levé et allait monter les marches lorsqu'elle vit Almerys toujours assise dans le coin elle s'approcha alors d'elle et demanda:

- Tu viens?

Almerys se leva et Kamilie et elle se dirigèrent dans les dortoire se fiant aux voix des filles.