POste d'obsevation des Chevaliers

Vu qu'Alméane n'avait rien à faire, elle décide d'espionner les Chevaliers pendand le festin de l'adoubement. Elle avait hâte de devenir un Écuyer mais avant elle devait faire ses études en magie et ces études prenaient environ 7 ans en calculant tout ça elle ne trouva que ça trop long et en plus les cours n'avaient pas commencer.

-Encore 7 ans avant mon tour...soupira t'elle mais ça irait plus vite si on aurait des cours! mais elle regarda les Chevaliers et Écuyer avec envi et soupira en pensant au futur...

Calila arriva en courant. Essouflée, elle laissa tomber le chaton qui était dans ses mains pour lui donenr un peu plus de liberté. Elle avait courut. Depuis que sa douleur au bras s'était apaisée, elle avait monté les escaliers 2 à 2. L'elfe s'était perdue dans deux carrefours. Mais l'énergie d'Alméane l'avait aidée à se retrouver. Elle n'avait jamais vu cet endroit. Il donnait la vue au banquet qui se donnait à l'honneur des écuyers.
Les oreilles rabaissées comme un chien battu, elle regarda Almé avec une panique dans le regard qui ne lui était pas naturel. Les elfes ne montraient pas leurs émotions. Ils n'en avaient pas. Mais elle n'était pas une vraie elfe. Encore essouflée par sa course, elle commença à parler pour expliquer son état d'alerte. Peut-être qu'à deux, ce serait plus facile...

-Ils...Kami...Kamilie et Tel...Telyr...ne sont plus...sur Enki..Enkidiev...

dit-elle. Puis, la panique passée, elle se reprit avec plus de clarté dans la voix:

-Kamilie et Telyr ne sont plus sur Enkidiev!

Puis elle jeta un coup d'oeil à l'assemblée, en dessous d'elles. Elle ne reconnu personne. Hormis peut-être Joey, qui discutait. Mais son attention se reporta à Alméane.

-QUOI!!!!!!!!! mais ça ne se peut pas ,mais si tu le dit...
elle commença a angoissé vraiment et Calila était le témoin de cette fâcheuse situation...
-Il faut avertir Lady Amay au plus vite, après tout ce sont de futur Écuyer mais j'ai une question pourquoi être venu à moi t'aurrais dû aller voir un adulte? mais bon on reparlera de ça plus tard et il faut tou de suite y aller voir Lady Amay.
elle s'en alla en tenant par la main Calila qui était pétrifiée

Calila la retint avec une force surprenante, étant revenue à la réalité. Elle hocha négativement la tête en répétant des "non, non, non...". Puis elle prit la fée par les épaules, toujours avec la même force. Calila lui arrivait au milieu du front - elle avait grandit durant l'été!- donc elle leva un peu les yeux et, avec un sérieux hors du commun, elle lui expliqua:

-Si je suis venue te voir, c'est pour que l'on trouve une personne qui ne les grondera pas. Si ça se trouve, ils se feront expulser et m'en voudront...
C'était un résonnement d'une petite fille ordinaire de 6 ans. Mais elle y réfléchit. Et plus elle y réfléchissait, plus elle trouvait qu'en fait, ce qu'elle disait n'était pas intelligent. Elle se ravisa.

-Bien. Tu as raison, il faut en parler. Mais qui est Lady Amay? Tu saurais la reconnaître dans cette assemblée?

Elle désigna le festin qui se trouvait sous leurs pieds. Effectivement, il y avait beaucoup de monde...Mais comment étaient perçus 2 élèves arrivant en panique parmi ces gens importants?

-Pour répondre à ta question, Lady Amay est la chef des Chevaliers et elle ne expulsera pas Kamilie et Telyr j'en suis certaine. On dit qu'elle est aimable et j'y crois.Cependant la trouvée voila tout un défi.
La jeune fée quui même si elle dépassait Calila d'une tête était plus jeune de 2 ans et elle vivait certe au château depuis un certain temps mais elle n'avait qu'entre vu La grande Chevalier Amay
-Vien j'ai un truc un pourra se faufiler ni vu ni connu et se rendre jusqu'a la salle et sûrement Lady Amay est à coter du roi où de l'esemblé royale qui siège à la table centrale... mais revenons à mon truc il est fort simple tu sais que je suis capable de me rendre invisible et bien j'utiliserai ce pouvoir pour nous deux et on passera sans être vue. Tu vien? lui demanda t'elle pour être sûr qu'elle soit d'acccord de son plan

Calila l'écoutait attentivement. Suite à la proposition, elle se dit qu'il n'y avait pas d'autre choix ou de plan à exploiter; il fallait faire vite...

-Je te suis...

dit-elle. L'elfe ne pouvait pas se rendre invisible et essayer cette nouvelle expérience l'emplissait de joie

lorsqu'Alméane recu l'accord de sa parrtenaire elle lui pris sa main et se concentra intenséement pour se rendre invisible toute les deux. et au bou de quelques secondes elles étaient complètement invisible et elle partirent à la rechercher du chef des Chevaliers et espérait de tout coeur de ne pa sperdre leurs 2 amis qui avait diaparus...

[mais faudra pas les trouver trop tôt, non plus, je crois qu'ils ont à faire là bas Wink

...et Alméane a 4 ans??? Oups...Cali est pas si petite que ça! Razz

Je vais changer pour dire qu'elle lui arrive au front, quand même!]

Lorsqu'elle devinrent invisibles, Calila ne vit aucune différence. En fait, elle pouvait se voir et voir Alméane, pusiqu'elle la tenait par le bras...mais les autres ne la voyaient pas...
Son livre était tombé par terre et resté là. Elle ne l'avait pas remarqué, mais s'en apercevrai bientôt...Son chat était grimpé sur son épaule, ce qui était étrange pusiqu'il ne la connaissait que depuis quelques heures.

-On est invisibles, là?

demanda-t-elle timidement et en chuchotant.

[la suite: Aile des chevaliers!]

~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Après leur escapade chez les Chevaliers, Calila et Alméane se retrouvèrent au même endroit que lorsqu'Alméane avait appris la nouvelle... Que dire d'autre l'endroit où elles étaient était magnifique.... On voyait tout de l'aile des Chevaliere...

-Nous y revoila... Encore une fois...Un doux vent vint caresser les deux jeunes filles et les longs cheveux aussi blanc que de la neige d'Alméane vollèrent au vent...

Calila jeta un coup d'oeil au banquet. Elle reconnu tout de suite l'endroit où elles étaient il y a 2 minutes et se trouva bête de s'y être perdu. Il y eut une brise de vent, qui rappelèrent à la petite les journées sur les plages d'Elfes. Ce vent réveilla une petite bête qui se trouvait couchée sur un livre. Le chaton s'étira et vint frôler les jambes de Cali. Elle le prit et le caressa.

-Je t'avais oublié, toi!

lui dit-elle. Puis elle vit le livre qui jonchait le sol. Le chat l'avait-il réellement gardé? Elle haussa les épaules, cela l'importa peu. Elle leva le chat dans les airs et le ragarda, pensive.

*Comment pourrais-je t'appeler?*

pensa-t-elle.

Alméane eut un sourire en voyant Calila s'amuser avec ce petit chaton. Il était vraiment mignon, on avait le gout de le flaté tout de suite et en entendant le pensé de Calila Alméane sourit encore une fois...

-Vas-tu lui trouver un nom à ce petit chat, il est vraiment beau!Dit Alméane sans jalousie, Alméane avait toujours étée modeste et elle le trouvait seulement mignon comme tout.

Calila se tourna vers Alméane et lui sourit à sont our. Il est vrai que le chaton avait tout pour séduire. Mais quel nom lui donenr? Elle n'avait pas d'imagination. En fait, elle aurait aimé lui donner le nom de son père. Mais sa mère ne le lui avait rien dit à ce sujet. Mais elle se souvient que lorsqu'elle était plus jeune, elle avait commencé à s'imaginer son vrai père. Cali lui avait donné un prénom, démontrant son courage et son honneur. C'était Phi...quelque chose..
Soudain, ses oreilles se redressèrent très haut et elle souria de plus belle.

-Philibert! Philibert de Zénor, protecteur du livre!

dit-elle à Alméane. Car il est vrai, ce chaton s'était approprié la protection de ce livre comme aucun autre chat ne l'aurait fait. Contente de lui avoir donné un nom, elle le serra et le remit par terre.

Alméane rit ,mais de bn coeur. C'était le nom parfait, et en plus,ça matchait avec le livre....

-Bonjour Philibert, protecteur du livre... Oh juste Cali, pourquoi de Zénor , tu ne vien pas du royaume des Elfes???
Alméane n'en savait rien ,mais vu le visage de Calila, elle vit qu'elle avait fait une gaffe

-Si tu veux pas le dire, c'est correct...

(chui en manque d'inspiration c'est temps ci... Neutral

)

À la remarque d'Alméane, Cali rabaissa ses oreilles bien rapidement. Mais en fait, il fallait bien qu'elle le dise un jour. Elle s'assit par terre, invita Alméane à s'asseoir à côté d'elle d'un geste de la tête et regarda le sol, commençant par une simple phrase.

-Non, ça ne me dérange pas d'en parler. Mais avant de te dire, tu ne trouvais pas ça étrange qu'une elfe ait les cheveux bruns et bouclés?

dit-elle. Pour la dernière remarque, c'est ainsi qu'elle avait elle-même appris ses origines. Alors que ses cheveux blonds devenaient de plus en plus foncés, elle avait commencé à se demander pourquoi elle n'était pas comme les autres.

-J'avous que je n'ai jamais vu ça...dit-elle enr estant souriante à coter d'elle et ensuite, Alméane devint grave...

-Comme ça toi aussi tu n'as jamais connu ton père. Moi aussi. Je sais même pas si ma mère est ma mère biologique et je me demande même si je suis une fée. As-tu déjà vu une fée aux cheveux blancs et à la peau blanche comme neige et avec des yeux rouge qui va au brun???

-Bah pas moi en tout cas, ça n'a plus d'importance, je me demende seulement si j'ai été adopter...dit-elle et ensuit elle demanda à Calila:

-Comme ça tu sais d'où vien ton père... le connait tu?

[hen hen tu lis ses pensées, toi! Elle a rien dit, encore! Razz

]

Cali était heureuse d'être en compagnie de quelqu'un dans son cas. Peu bavarde, elle avait cependant le goût de dire ce qu'elle gardait dans son petit coeur depuis le jour où sa mère lui a tout dit...

-Je n'ai jamais vu de fée....non, je ne connais pas mon père. Il vient de Zénor et c'est là-bas qu'il est retourné. C'est ma maman qui m'a tout dit ça. Et elle pleurait toutes les fois qu'elle me parlais de lui. Elle disait que c'est des affaires de grandes personnes, que je comprendrait un jour. Mais moi j'ai un faux-papa aussi. Il est le père de mon grand frère. J'osais pas le dire,mais je soupçonne que c'est de sa faute si mon père est parti. Même que c'est lui qui a insisté pour que je vienne ici. Ma mère a dit que c'est parce qu'il m'aime beaucoup, mais je sais que c'était pour se débarrasser de moi...

dit-elle sans reprendre son souffle. Puis elle fit un mince sourire.

-Ma mère dit que je lui ressemble beaucoup. À mon père. Tu sais quoi? Quand je serais grande, j'irai à Zénor pour le trouver...mais toi, avais-tu un faux-papa? Ta mère t'a-t-elle ârlé de ton vrai père?

Alméane jusque la avait eu un enfance difficle et elle était assez silencieuse la dessu...

-Non, je n'ai jamais eu de faux-papa et ma mère m'en a jamais parlé d'où je vien. Elle m'enferamait dans une pièce et elle me faisait lire des livres très, très longs et quand je sortait tout le monde me regardait vraiment croche...Je crois que ma maman m'a jamais aimé voila...

Sur ce, elle versa une larme, c'était difficile pour elle d'en parler et elle espérait ne pas avoir trop de question la dessu mais ,elle y répondrait...

(euh, oui on va dire que j'ai lu dans tes pensés!!)

Cali n'aimait pas voir le monde pleurer. Cela la faisait penser à sa mère. De ses jolis yeux verts embrouillés de larmes. Mais sa mère l'avait aimée et elle n'avait pas eu la vie si dure, si ce n'était que de son beau-père. Il ne le disait pas ouvertement mais la froideur de son visage lorsqu'il lui parlait n'évocait rien de bon. Ne sachant que faire face à une situation si délicate, elle fit ce qu'elle avait fait plus tôt au festin à lady Amay. Une vague d'apaisement. Toute petite, mais revigorante. C'est sa mère qui lui a montré ça.

Après la peite vague d'apaisement, Alméane se sentait mieux, et surtout, elle en avait parler de son passé, elle qui penssait emmener ce secret dans sa tombe...

-Merci...

Elle posa son regar sur le chat, elle luis ourit

Au juste de quoi parle le livre de Phil?

Heureuse d'avoir aidé Alméane à surmonter cette tristesse, elle lui offrit un sourire.

-De rien.

dit-elle. Puis à sa question, elle haussa les épaules.

-De Zénor. Je l'ai vu à la bibliothèque.

répondit-elle. Son beau-père, bien que détestable, leur avait appris, à elle et à son frère, à lire. Mais elle avait un peu de difficulté.

Après la réponse de Calila, Alméane eut un mince sourire. C'était ,maintenat sur que ce livre ne pouvait que de parler de Zénor.

-Je m'en doutais, ça doit être un bon livre. Un peu savant à cause de l'épaisseur ,mais il semble bien...dit-elle avec un ton d'experte

Calila haussa les épaules à cette remarque. Elle n'y connaissait rien aux livres. Les seuls qu'elle ait jamais lus étaient de vieux livres tout chifonnés. Certains parlaient de l'histoire de son peuple et étaient écris en elfique. D'autres étaient des histoires et étaient écrits en langue "d'humains". Son père -plutôt son beau-père - lui parlait souvent en elfique. Sa mère le faisait, mais avec sa tête, dans ses pensées. Mais Cali ne pensais pas comme les autres elfes. Eux pensent en elfique, et elle pense en language "d'humains". Le mari de sa mère disait que c'était à cause de "ce maudit zénorois". La petite elfe ne savais pas ce que voulait dire "maudit". Sa mère lui avait dit que c'était un mot d'adultes. Cali n'a pas cherché à en savoir plus. Elle a continué à lire. Une question lui passa alors par la tête.

-Vous, les fées, avez-vous un language de fées? Lisais-tu des livres écrits en normal?

demanda-t-elle à Alméane.

Alméane sourit avec plus d'ardeur, les livres étaient son sujet de discusion préféré. Les fées avaient une grande bibliothèque remplis de livre de toutes les langues. Que se soit de l'elfique, de l'ancienne écriture ou la nouvelle passant par la féérique...

-Bien, nous les Fées, avont une langue bien à nous et aussi ,nous avont notre écriture. Je sais lire en cinq langue et maitrise l'écriture des cinq. Je connait l'elfique, l'écriture ancienne des humains et aussi la nouvelle et la féérique. Mais la plus difficile à comprend c'est la féérique et aussi à parler. Pourtant, je epnse dans la langue des fées et celle des humains. Ma mère m'a toujours dit que j'était bizarre...dit-elle tout simplement

[ouin ptite érudite! Razz

]

Calila resta ébahie. Cette petite qui avait presque son âge en savais autant qu'un chevalier côté littérature. Et elle qui se contentait de ses vieux livres tout poussiéreux! Mais elle fit alors un petit sourire.

-Parles-tu elfique?

demanda-t-elle. Peut-être qu'elle avait de la misère ;a lire les vieux documents plates en elfique, mais elle le parlais parfaitement. Sa mère lui chantait des chansons avant de s'endormir dans cette langue. Un vieux souvenir enfoui revint à elle. Sa mère. Si fragile. Si belle, avec ses longs cheveux blonds comme les blés. Elle se perdit ainsi dans sa rêverie jusqu'à ce qu'Alméane lui réponde.

[Je sais que je suis bolée]

Oui Alméane parlait trois langues,et la litérature et les langues était sa "passion", elle adorait lire et apprendre et surtout quand ça parlait du passé

-Oui je parle l'elfique, aussi le féérique et l'humain ,mais pas l'ancien, tente pas tout court...dit elle an souriant

-Toi le parles-tu??

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