Adoubement des Écuyers

Kazalq accepta l'invitation de Ciran d'un léger hochement de tête et laissa l'écuyer de celui-ci aller plus loin s'occuper seul. Elle encouragea le monde rassemblé autour des deux frères à se dispersés pour les laisser respiré un peu. Les gens partirent peu à peu, se qu'elle fit elle aussi.

-Bon et bien...maintenant je vais te faire visiter notre chambre comme prévue! dit-elle en se dirigeant directement au secteur des chevaliers.

SUITE--> Chambre de Kazalq

Lucifer regarda la suite de la scène avec beaucoup d'interêt. Cependant, après quelques minutes, Kazalq leur demanda de laisser les deux frères seuls. Il n'était pas assez stupide pour contester l'ordre d'un chevalier, alors il s'éloigna. Son maître lui ayant donné une après-midi de congé, il décida d'aller faire une petite promenade dans les bois. Cependant, il devrait s'assurer d'être rentrer à temps au château.

Comme tout le monde semblait le faire, il s'éloigna des deux frères, puisque sa compagnone d'armes l'avait proposé. Elle avait raison qu'ils devaient avoir un peu d'air, alors il ne contesta pas sa décision. Il adressa un signe de tête à son écuyer avant qu'il ne parte, puis il partit à son tour vers l'intérieur du chateau.

Reportant son attention sur Cassandra, elle lui proposa d'aller s'installer dans la chambre qu'ils partageraient tous les deux

suite dans ma chambre.

Le roi sortit des grandes portes du hall accompagné de deux gardes richement vêtus. Un scribe sur ses pas et un sourire au lèvre il arriva dnas la cours. Il grimpa sur une estrade qui surplombait la grande cours pleine à craqué. Il fit signe aux chevaliers et aux nouveaux écuyers de s'approcher. Le scribe tandit une feuille au jeune roi et celui-ci la déposa sur le petit pupitre.

-Grands chevaliers et nobles écuyers, commença t il. J'espère ne pas interrompre trop les festivités. Le roi regarda les soldats fière qui se retrouvait ici. Je suis le roi Gabriel d'Émeraude pour ceux qui ne me replacerait pas, mon père récussita votre ordre pour la défense de ce beau continent. Il vous regarde des plaines de lumière passer le flambeau de votre savoir à ces jeunes apprentis très cher chevaliers d'Émeraude. Je suis ici pour vous donner bénédiction, je serais présent pour vos demandes et à l'écoute de toutes vos propositions. Les dieux vous apporteront aides et puissances. Pour terminer, un grand festin vous attend dans le hall des chevaliers pour fêter cela. Les écuyers vous pouvez vous rendre aux festivités, mais les chevaliers je dois vous entretenirs de quelque chose d'urgent.

Le roi descendit de l'estrade en saluant la foule, il fit signe à ses gardes de partirs et à son scribe de l'attendre à la porte du hall. Il prit place près d'un feu allumé et attendit que les chevaliers prennent places près de lui.

Illusia se retourna à la demande du chevalier. Le jeune femme se releva et sentit une douleure qui lui parcourait le bas du dos... Les années desclavages à Irianeth ne l'avait pas aider. La jeune lâcha une plainte étouffé et répondit d'un signe de tête à la demande de Ciran, en ajoutant, comme à son habitude:

-Bien sur Sir. Illusia s'approcha tranquillement du chevalier noir dont elle devait prendre soin. Elle s'apprêtait à parler à l'inconnu lorsque la voie du roi retantit sur les murs du château d'Émeraude. Elle s'arrêta immédiatement et écouta toute les paroles de son souverain. Après le discour de celui-ci, elle s'approcha de lui, étant une de ses plus fidèles servantes, la jeune femme s'inclina. Puis doucement, avec toute la grâce d'une fée, elle se releva et de fit signe au chevalier noir de la suivre.

Illusia ne lui faisait pas confiance, il venait d'Irianeth, il n'est pas le bienvenu dans sa vie. Seulement son armure lui rapellait ses pires souvenirs: Masaru la faisant souffrir seulement par ses pouvoirs car elle ne l'écoutait pas.. où qu'elle n'était pas assez rapide... Où qu'il avait honte d'elle...

- Suivez-moi. Dit-elle sèchement avant d'entreprendre sa marche jusqu'au chambre des chevaliers, les larmes aux yeux par ses souvenirs...

Kagar la regarda, une étincelle de découragement, mélanger d'agacement traversant ses yeux. Il resta tout d'abord sur place, lançant un regard suppliant à son frère, mais voyant qu'il avait autre choses à faire, il grogna quelque mots incompréhensibles entre ses dents, et avança sans volonté, d'un pas lourd et lent et direction d'Illusia, qu'il n'avait pas du tout envie de suivre. Mais sachant qu'il était entouré de chevaliers, il se ravisa à renvoyer la jeune femme dans un coin perdu d'Enquidiev.

Il eu même l’idée de partir de ce coin perdu, et de retourner sur Iraneth, sondant justement le continent qu’il avait quitté de peine et de misère, suivant tout les gentes de ses anciens frères d’arme.

[hj: ... c'est que j,aimerais bien me faire répondre un jours... vous savez si Aleck va revenir????]

[En fait, sur un forum auquel je participe, il ne vient plus du tout et ici non plus apparament... Bah, vas ou les écuyers doivent allé et fait comme s'il t'avais répondu.]

Comme le roit semblait l'avoir demandé, Reyan revint dans la cour, attendant les explications ou les informations qu'il voulait leur divulguer. Les chevaliers se massèrent bientot presque tous autour du roi.

-De quoi vouliez-vous nous parler, majesté ? demanda-t-il, curieux de connaitre cette nouvelle «urgente».

Férianne avait suivit son époux de sa grace et sa beauté habituelle. Habillée d'une très belle robe, elle regarda les gens présents en souriant. Cependant, elle ne parla point, préférant de loin écouter ce qui se disait. Rares étaient les fois où Férianne n'était pas là quand son époux parlait.

Après être allée à la chambre de son Écuyer et d'elle même, elle retourna dans la cour pour entendre le message du Roi.

Elle arriva et s'inclina.

- De quoi vouliez-vous nous parler, majesté?

dit la grand chef sur un ton sur d'elle.

Eylaïnya observa le roi avec une certaine appréhension qu'elle ne laissa point parraître, elle s'approcha doucement gardant une légère distance entre Amay et elle-même. La jeune femme s'inclina à peine et continua de fixer le Roi Gabriel. Deux personnes venait de demander au Roi sur quel sujet il voulait s'entretenir avec ses chevaliers et il ne semblait pas si pressé de répondre.
Laïnya fit preuve de patience et garda le silence.

Kazalq s'approcha en même temps que tous ses frères et soeurs d'arme. Étant de nature très curieuse, elle ne voulait manquer aucune des paroles du roi donc tendit l'oreille pour ne rien manquer. Elle se demandait bien se qui pouvait être si important...Si s'était une attaque...l'elfe avait beau aimer se battre mais aujourd'hui elle préfèrait apprendre à mieux connaitre son écuyer...

[HJ : cé long...est ce qu'on laisse faire et on va au banquet...ou on attend comme des cruches ??]

[Je proposes ça...Parcequ'ici ça stagne inutilement...Le roi fera son message la-bas au pire...]

ok!

[TERMINÉ POUR LE MOMENT!]

» Festin de l'Adoubement (suite de l'Adoubement)